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La collection " Petite philosophie du voyage " invite Benoît Fontaine, naturaliste, à partager la quête du chercheur qu'émerveille la diversité du vivant. Qu'il manie les jumelles ou la loupe, qu'il se passionne pour les oiseaux, observe les mammifères ou étudie les invertébrés, c'est la profusion de la nature qui fascine ce savant au regard d'enfant.
Un documentaire qui se lit comme un roman. A partir de 14 ans. Ce malacologue (spécialiste des escargots) part de l'évocation d'une mission menée au Gabon pour nous faire partager sa passion pour la nature et pour son métier la recherche naturaliste.
Né en 1969, Benoît Fontaine a très vite été intéressé par la nature. Adolescent, il commence à voyager pour observer les oiseaux, des marais polonais aux îles Shetland. Après être devenu ingénieur agronome, il se dirige vers la recherche et prépare un DEA d'éthologie. Il part ensuite deux ans au Gabon, où il est assistant dans une station de terrain et participe aux travaux sur les gorilles, les chimpanzés et les écosystèmes de la forêt équatoriale.
De retour en France, il troque ses jumelles pour une loupe binoculaire en travaillant au laboratoire de malacologie du Muséum national d'histoire naturelle. Il y fait une thèse sur la prise en compte des espèces rares ou inconnues dans les politiques de conservation de la nature, en développant sa connaissance des escargots. Ces travaux lui donnent l'occasion de retourner au Gabon, mais il travaille aussi sur la faune de France et celle des îles tropicales, comme les Comores ou le Vanuatu.
A l'issue de sa thèse, il entre au laboratoire d'écologie du Muséum, où il est chargé des programmes de suivi des invertébrés, et en particulier des papillons.
De retour en France, il troque ses jumelles pour une loupe binoculaire en travaillant au laboratoire de malacologie du Muséum national d'histoire naturelle. Il y fait une thèse sur la prise en compte des espèces rares ou inconnues dans les politiques de conservation de la nature, en développant sa connaissance des escargots. Ces travaux lui donnent l'occasion de retourner au Gabon, mais il travaille aussi sur la faune de France et celle des îles tropicales, comme les Comores ou le Vanuatu.
A l'issue de sa thèse, il entre au laboratoire d'écologie du Muséum, où il est chargé des programmes de suivi des invertébrés, et en particulier des papillons.