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Qu’il y en ait trop ou pas assez, l'eau fait de plus en plus problème. Fort de la dichotomie qu'il est à peu près le seul à établir entre la Nature et les Cultures, le monde occidental et occidentalisé tend à réduire cette question à la gestion responsable et raisonnable d'une ressource naturelle menacée par de mauvaises politiques et des techniques inappropriées. Les histoires racontées ici à partir d’expériences africaines en matière de puits, de pluie et de projets hydrauliques donnent à réfléchir tout autrement : le phénomène de l'eau est, d'emblée et d'office, de "nature" culturelle. Ainsi, l’Afrique et ses histoires d’eaux nous disent qu’il serait à la fois plus plausible et plus prometteur d’admettre qu’il y a réellement autant d’eaux que de cultures.
Lire le compte-rendu de lecture de Catherine Sabinot paru dans le Journal des Africanistes 81-2 | 2011 : Migration de l’enfance, migrations dans l'enfance, 337-338
Prologue … où il faut se jeter vite à l'eau
1 - Une première histoire d'eau : des puits …. Et puis ? (en Tanzanie)
2 - Une deuxième histoire d'eau : présence et absence de barrages en Afrique,
3 - Une troisième histoire d'eau : de la siccité climatique à l'aridité culturelle,
4 - Une quatrième histoire d'eau : faiseurs de pluie et faiseurs de chrétiens,
5 - Une cinquième histoire d'eau : le taureua pris par la queue - Un coup vache pour un effet bœuf (Lac de Guiers, Sénégal),
Epilogue. Une sortie en eaux profondes