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Un officier de vingt-deux ans aux allures de prince oriental, muni de maigres subsides et escorté d'une poignée de compagnons, cherche à percer le secret des voies d'eau qui conduisent jusqu'au centre du continent noir. Le cours inférieur du Congo étant barré par une suite de cataractes, il a choisi de remonter, plus au nord, l'immense Ogooué. On est en 1875 et, comme la plupart des voyageurs de sont temps, le jeune Brazza pense que tous les grands fleuves d'Afrique prennent leur source dans un vaste lac juché sur la crête Congo-Nil, véritable mer intérieure protégée par une chaîne de sommets inaccessibles.
Le texte intégral, tel que publié dans la revue Le Tour du monde, de la relation de l'expédition de Brazza de la côte vers le bassin du Congo débutée en 1875. En toile de fond permanente: la dénonciation de l'esclavage. Avec la reproduction des superbes illustrations qui accompagnent ce texte