Navigation dans la catégorie :

Vous êtes actuellement sur :

<< Retour
 BESNIER Serge - Moussoro, cent ans déjà

Plus de vues

  •  BESNIER Serge - Moussoro, cent ans déjà

BESNIER Serge, BESNIER François (extraits de lettres présentées par)

Moussoro, cent ans déjà. Témoignage de Serge Besnier, fondateur de la ville. Extraits de lettres présentées par son fils François Besnier

Sépia - Saint-Maur des Fossés - 2011
ISBN: 9782842801793
(Pour mieux connaître le Tchad)
224 p. - 13,5 x 21,5 cm

Disponibilité éditeur: Disponible chez l'éditeur.

Prix public éditeur: 20,30 €

L'Offre de Soumbala

Référence Etat de l'exemplaire Disponibilité Soumbala Prix Commander
X46867 livre neuf, broché 5 à 8 jours
20,30 €
Chez Amazon

 Serge Besnier arrive au Tchad fin décembre 1908, jeune officier de cavalerie, il rêve d’action et peut-être de gloire dans un Territoire Militaire en pleine expansion. L’escadron de spahis qu’il devait commander est dissous. On l’envoie créer un poste au Bahr al-Ghazal avec des consignes strictement défensives. Sera-t-il une sorte de sous-préfet ? 

Assisté du faki Naïm, il s’installe « au milieu de rien », ne songeant sans doute pas à fonder une ville, Moussoro, aujourd’hui préfecture de région, pôle d’attraction pour les éleveurs nomades, agglomération de quelques vingt mille habitants. 
Comme soldat, Serge Besnier fera de Moussoro, poste de première ligne sur la route des rezzous senoussistes, celui qui ne sera jamais attaqué. Comme administrateur, il saura gagner la confiance des turbulents Kréda et Kécherda, allant inlassablement à leur rencontre. Amis ou adversaires il leur témoigne un égal respect. 
Serge Besnier est né en 1881. Au lieu d’exploits guerriers, c’est un riche aventure humaine qu’il nous relate au fil des lettres adressées chaque semaine à sa famille de 1908 à 1911, lettres que son fils François tente ici de replacer dans le contexte de l’époque.
Serge Besnier est né en 1881. Au lieu d'exploits guerriers, c'est une riche aventure humaine qu'il nous relate au fil des lettres adressées chaque semaine à sa famille de 1908 à 1911, lettres que son fils François tente ici de replacer dans le contexte de l'époque.