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Collection impressionnante de souvenirs des principaux acteurs de l'aventure coloniale. Parmi ceux-ci certains intéressants car peu connus: Allègre (chef de poste à Moussoro), Abatucci (Dori), Planchard de la Brosse (Goz Beïda), Kersaint-Gilly (Gabon), Muraz (Cameroun), etc..
Sommaire:
- 1re partie: Les Bâtisseurs de mondes.
- 2e Partie: Nos Coloniaux:
- Abbatucci, La colonne dans les sables.
- G. d'Alem, à la rescousse.
- Allegre, chef de poste à 22 ans.
- Baissac, l'ombre ennemi.
- Battardy, grande brousse.
- De Barthelemy, l'épidémie.
- Barthelemy (G.), sur le bord d'une tombe.
- Binger, retour de mission.
- Blanchard de la Brosse, sur la frontière gorienne.
- Blanchet, en terre malgache.
- Bobichon, l'Afrique noir et or.
- Bonnier, "manière blanc".
- Bosc, le pays pour la première fois survolé.
- Bouscat, vent de sable au Tibesti.
- Bratières, comment j'ai pris Samory.
- Brevié, le vieil esclave.
- Charbonneau, première bataille.
- Dartigolles, dans la tache de Taza.
- Dourisboure, sorcellerie.
- Doze, la nuit longue.
- Emily, l'heure de Fachoda.
- Ferrandi, la dune de feu et de sang.
- Garnier, contre les pavillons noirs.
- Idrac, en colonne.
- Frizza, le cyclone.
- Guernier, les adieux de Casablanca.
- Jacomy, Tiekoura Sangare.
- Jean-Renaud, les esprits de la lagune.
- Joalland, après le drame de Dankori.
- De Kersaint-Gilly, le rapide de la mort.
- A. et P. Lemanissier, les sauterelles.
- Lucien-Saint, comment ils pacifient.
- Magnin, et ceci est de l'histoire.
- Mahé, le bouclier vivant.
- Marchand, au temps de l'Almamy.
- Mordrelle, les débuts d'un sous-lieutenant d'infanterie de Marine.
- Morvan, dans la brousse du Tonkin.
- Muraz, Gagadema.
- Nogues, le seigneur Tigre.
- Petin, l'oued tragique.
- De Pouvourville, la prise du pirate récalcitrant.
- Recoque, sang d'Alsace.
- Rigaut, sergent à l'infanterie de marine.
- Rondet-Saint, reminiscences d'un globe-trotter.
- Roth, le premier baroud.
- Salé, naufrage.
- Theveney, le tirailleur au masque de pourpre.
- Watthé, dans le Kiang-Si xénophobe et cruel.
- 3e Partie: L'Armée Coloniale.
- 1re partie: Les Bâtisseurs de mondes.
- 2e Partie: Nos Coloniaux:
- Abbatucci, La colonne dans les sables.
- G. d'Alem, à la rescousse.
- Allegre, chef de poste à 22 ans.
- Baissac, l'ombre ennemi.
- Battardy, grande brousse.
- De Barthelemy, l'épidémie.
- Barthelemy (G.), sur le bord d'une tombe.
- Binger, retour de mission.
- Blanchard de la Brosse, sur la frontière gorienne.
- Blanchet, en terre malgache.
- Bobichon, l'Afrique noir et or.
- Bonnier, "manière blanc".
- Bosc, le pays pour la première fois survolé.
- Bouscat, vent de sable au Tibesti.
- Bratières, comment j'ai pris Samory.
- Brevié, le vieil esclave.
- Charbonneau, première bataille.
- Dartigolles, dans la tache de Taza.
- Dourisboure, sorcellerie.
- Doze, la nuit longue.
- Emily, l'heure de Fachoda.
- Ferrandi, la dune de feu et de sang.
- Garnier, contre les pavillons noirs.
- Idrac, en colonne.
- Frizza, le cyclone.
- Guernier, les adieux de Casablanca.
- Jacomy, Tiekoura Sangare.
- Jean-Renaud, les esprits de la lagune.
- Joalland, après le drame de Dankori.
- De Kersaint-Gilly, le rapide de la mort.
- A. et P. Lemanissier, les sauterelles.
- Lucien-Saint, comment ils pacifient.
- Magnin, et ceci est de l'histoire.
- Mahé, le bouclier vivant.
- Marchand, au temps de l'Almamy.
- Mordrelle, les débuts d'un sous-lieutenant d'infanterie de Marine.
- Morvan, dans la brousse du Tonkin.
- Muraz, Gagadema.
- Nogues, le seigneur Tigre.
- Petin, l'oued tragique.
- De Pouvourville, la prise du pirate récalcitrant.
- Recoque, sang d'Alsace.
- Rigaut, sergent à l'infanterie de marine.
- Rondet-Saint, reminiscences d'un globe-trotter.
- Roth, le premier baroud.
- Salé, naufrage.
- Theveney, le tirailleur au masque de pourpre.
- Watthé, dans le Kiang-Si xénophobe et cruel.
- 3e Partie: L'Armée Coloniale.
Jean-Jacques Ernest Renaud, dit Jean-Renaud (1880-1952) est un militaire, écrivain et homme politique français qui servira au Dahomey avant de faire l'école de Versailles et lieutenant d'être entre 1910 et 1914 l'ordonnance d'Albert Sarraut alors gouverneur généal d'Indochine. Il termine sa carrière militaire commandant. Auteur de nombreux romans coloniaux (Maroc, Asie), il recevra en 1931 le grand prix de littérature coloniale pour l'ensemble de son œuvre.