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 DELAVIGNETTE Robert, MANGEON Anthony (directeur de publication), LITTLE Roger (avec la collaboration de) - Mémoires d'une Afrique française. Texte inédit. Tome 2

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DELAVIGNETTE Robert, MANGEON Anthony (directeur de publication), LITTLE Roger (avec la collaboration de)

Mémoires d'une Afrique française. Texte inédit. Tome 2

L'Harmattan - Paris - 2017
ISBN: 9782343116631
(Autrement mêmes)
212 p. - 21 x 13 cm

Disponibilité éditeur: Disponible chez l'éditeur.

Prix public éditeur: 21,50 €

L'Offre de Soumbala

Référence Etat de l'exemplaire Disponibilité Soumbala Prix Commander
X66154 livre neuf, broché 5 à 8 jours
21,50 €
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 Voici enfin, mis à la disposition du public, les Mémoires d'un des plus grands acteurs et théoriciens critiques de la colonisation française en Afrique. Ancien administrateur devenu directeur de l'Ecole nationale de la France d'outre-mer (Paris), puis haut-commissaire de la République au Cameroun, et enfin gouverneur général, Robert Delavignette (1897-1976) revient ici sur son parcours, les mutations qu'il imprima à la formation puis à la politique coloniales, et il porte un regard sans concession sur les décolonisations des années 1960.

Robert Delavignette (1897-1976) est l'une des figures les plus intéressantes et les plus attachantes de la colonisation française africaine. Démobilisé en 1919, il est commis aux affaires indigènes en AOF. Il intègre ensuite l'Ecole coloniale par la petite porte d'accès réservé aux fonctionnaires subalternes. Il servira successivement comme adjoint au commandant de cercle au Niger ( Tessaoua, Dosso), en Haute-Volta (Ouagadougou), puis comme commandant de cercle (Banfora). Il dirige en 1931 l'Agence économique de l'AOF puis entre au cabinet de Marius Moutet avant de devenir directeur de l'ENFOM en 1937. Haut-Commissaire au Cameroun en 1946-47 puis directeur des affaires politiques au ministère de la France d'Outre-Mer, poste où il tentera d'initier une politique coloniale novatrice. En désaccord avec le gouvernement sur la question indochinoise il démissionne en 1951 pour rejoindre l'ENFOM où il se remettra à enseigner jusqu'en 1962, année où il prend sa retraite.
Ses ouvages (romans et essais) sont remarquables et apportent un éclairage passionnant sur les visions d'un administrateur juste et progressiste sur ce qu'aurait pu être l'évolution de notre politique coloniale.
 

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