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Je suis noir et je n'aime pas le maniocA partir de : 0,90 €
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Au-delà du Noir et du BlancA partir de : 17,10 €
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Parlons enfants de la patrieA partir de : 17,10 €
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Les Blancs m'ont refilé un Dieu moribondA partir de : 13,30 €
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Je suis noir et je n'aime pas le maniocA partir de : 1,03 €
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Au-delà du noir et du blancA partir de : 1,65 €
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Je suis noir et je n'aime pas le maniocA partir de : 0,67 €
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Anciens combattants africains : des visages et des mots pour mémoireA partir de : 14,76 €
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Trois kilos de café: autobiographieA partir de : 3,44 €
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Trois kilos de café: autobiographieA partir de : 21,90 €
Issu d’un milieu protestant, Manu Dibango débarque à Saint-Calais (Sarthe) pour poursuivre ses études avec seulement 3 kilos de café pour les payer. Etudiant à Chartres, puis à Château-Thierry au début des années 1950, il y découvre le jazz et y apprend le piano ; mais c’est à Reims, où il prépare le baccalauréat, qu’il s’initie au saxophone et commence à se produire dans les « boîtes ». Suivra un long séjour musical en Belgique et notamment au Tabou de Bruxelles…
Cet ouvrage compose l’autoportrait d’un musicien dont le talent finit par s’imposer, grâce à un facteur que lui-même nomme la chance. Le parcours de cet artiste est un paradoxe permanent : dans cette Afrique à laquelle il s’entête à se consacrer, il n’a jamais été reconnu à sa juste valeur ; en France, il reste africain avant d’être musicien ; mais, dans le reste du monde, c’est une star.
Dans cet ouvrage, le patriarche se penche sur le chemin accompli et se rappelle les hommes et les espaces vers lesquels la musique l’a conduit. Au fil de son récit, l’Afrique, la France et l’Amérique sont invoquées avec passion.
Autobiographie de l'un de nos plus grands musiciens africains
Emmanuel Ndjoké Dibango, dit Manu Dibango est né à Douala en 1933, père Yabassi et mère douala, tous deux protestants. Il meurt à paris en mars 2020.