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Histoire de la Mauritanie des origines à l'indépendanceA partir de : 15,90 €
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Contribution à l'histoire de la Mauritanie (1900-1934)A partir de : 40,00 €
Cet ouvrage, commenté par Madame Désiré Vuillemin, a pour base un document original : la première vision d'un rapport de Xavier Coppolani au Gouverneur de l'AOF, Ernest Roume sur sa Mission d'organisation des territoires du Tagant, qui l'avait conduit dans les régions situées au nord du Haut-Sénégal. La rédaction de Coppolani témoigne de sa netteté de vue d'organisateur et présente les méthodes pour mener à bien sa politique de pénétration pacifique.
Le rapport établi par Coppolani en 1904 concernant sa mission d'organisation du Tagant en Mauritanie retrouvé par hasard dans une vente de vieux papiers. Introduction et notes de Geneviève Désiré-Vuillemin. Ce document est suivi d'annexes qui mettent l'accent sur les difficultés rencontrées par Coppolani, en particulier auprès des traitants établis à Saint-Louis dont il dérange les trafics illégaux centrés sur les esclaves et les armes
Lire sur Coppolani le très intéressant article de Cécile Frébourg "Coppolani revisité" paru dans la revue française d'histoire d'outre-mer - 1993, 80, pp. 615-626
- Geneviève Désiré-Vuillemin a eu la chance de réaliser le rêve de sa prime jeunesse : visiter la Mauritanie. Son enfance a été marquée par les récits de son père qui, à vingt ans, avait vécu l'aventure de la mission Tagant-Adrar dirigée par Coppolani. Après l'agrégation d'histoire-géographie, elle obtient une bourse d'études pour aller consulter à Dakar les archives du Gouvernement général d'AOF afin de préparer une thèse de doctorat sur la Mauritanie. Théodore Monod l'accueille à l'IFAN qui abrite alors la majeure partie des archives, une riche bibliothèque et des spécialistes : Albert Leriche, Raymond Mauny, Georges Duchemin, Gérard Brasseur, etc. Il lui prête un véhicule pour visiter les postes qui conservent encore quelques archives : périple inoubliable qui permet de prendre contact avec le pays et ses habitants. Un autre séjour lui permet de parachever ses recherches dans les archives, de revoir le pays qu'elle aime et d'assister aux fêtes de l'indépendance. Revenue en France, elle a consacré la plupart de ses travaux à l'histoire de la Mauritanie.