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 AHIDJO Ahmadou, Union Nationale Camerounaise - Nation et développement. Dans l'unité et la justice

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AHIDJO Ahmadou, Union Nationale Camerounaise

Nation et développement. Dans l'unité et la justice

Présence Africaine - Paris - 1969
81 p. -

Disponibilité éditeur: Epuisé chez l'éditeur.


L'Offre de Soumbala

Référence Etat de l'exemplaire Disponibilité Soumbala Prix Commander
X68273 ouvrage numérisé, format kindle disponible sans délais
6,99 €
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 « Nation et Développement » contient le texte du Rapport de politique générale de El Hadj Ahmadou Ahidjo devant le premier Congrès de l’Union nationale camerounaise tenu à Garoua en mars 1969. Le Monde du 18 mars 1969 le qualifie de « discours remarquable par son élévation de pensée et sa technicité, sans rien de ce verbalisme creux auquel on associe généralement le mot « politique » en Afrique… Discours d’un ton gaullien, nullement étonnant chez un homme… Pénétré d’un sens de l’État presque jacobin ». De son côté un journal belge, Le Soir, du 18 avril 1969, salue ce texte comme « une véritable charte de l’Afrique en voie de développement ». C’est dire que ce livre doit être lu par tous ceux qui s’intéressent au Cameroun et à l’Afrique en général.

 Texte du Rapport de politique générale de El Hadj Ahmadou Ahidjo devant le premier Congrès de l’Union nationale camerounaise tenu à Garoua en mars 1969

Ahmadou Babatoura Ahidjo (1924, Garoua - 1989, Dakar) sera le premier président de la République du Cameroun.
Télégraphiste puis opérateur radio dans l'administration française mais fils de chefferie peule, il est élu à l'Assemblée territoriale du Cameroun en 1947. Vice-Premier ministre lors de l'octroi de l'autonomie intérieure du Cameroun en 1957, il fera tomber le gouvernement d'André-Marie Bida et le remplace en 1958.
Avec l'appui politique et militaire de la France (contre l'UPC) il sera élu président en 1960. Il gérera le Cameroun d'une main de fer en despote mais démisisonne en 1982 pour raisons de santé (peut-être suite au diagnostic volontairement alarmiste et possiblement politique de médecins français….); Paul Biya le remplace. Se trouvant toujours en vie en 1984 il aurait fomenté un coup d'Etat pour reprendre le pouvoir. Il est condamné à mort par contumace. Il meurt à Dakar 'un crise cardiaque en 1989.
 

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