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La représentation du pouvoir dictatorial se perpétue dans les textes des auteurs africains francophones depuis la publication du roman "Les Soleils des indépendances" d'Ahmadou Kourouma en 1968. Il est question de saisir, dans le cadre d'une démarche critique interprétative, la dynamique de la représentation du pouvoir politique perçu comme une maladie de l'esprit. Cette recherche retrace le parcours artistique d'une quête de la guérison.
Cet ouvrage est issu de la thèse soutenue par l'auteur à l'école doctorale Littérature française et comparée de l'Université Paris 3 sous la direction de Daniel Pageaux en décembre 2011 et ayant pour titre: Du pouvoir dictatorial au mal moral : une lecture du roman africain francophone depuis 1968.
- Ahamadou Kourouma / Les soleis des indépendances et En attendant le vote des bêtes sauvages,
- Alioum Fantouré / Le Cercle des tropiques,
- Sony Labou Tansi / La Vie et demi et L'Etat honteux,
- Henri Lopès / Le Pleurer-Rire,
- Williams Sassine / Le Zéhéros n'est pas n'importe qui,
- Aminata Sow Fall / L'Ex-père de la nation,
- Véronique Tadjo / Le Royaume aveugle et L'Ombre d'Imana,
- Yamba Elie Ouédraogo / On a giflé la montagne,
- Isaïe Biton Koulibaly / Le Sang, l'amour et la puissance,
- Daniel Biyaoula / L'impasse,
- Kossi Efoui / La Fabrique de cérémonies,
- Fatou Diome / Le Ventre de l'Atlantique.