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Le chef-d’oeuvre de Théodore Géricault a été le révélateur du drame de La Méduse. Si le radeau n’avait pas été retrouvé, le naufrage de ce navire serait resté dans les annales historiques de la Marine, puis ce dossier aurait été oublié, sauf, peut-être, par des historiens.
René Moniot Beaumont propose une navigation curieuse dans les principaux textes inspirés par ce désastre maritime et humain, dont La Salamandre d’Eugène Sue, et celui – découverte bibliophilique – de Charles-Yves Cousin d’Avallon (1729-1840), une sorte de journaliste bavard, connu en son temps pour ses recueils d’anecdotes sur des personnages historiques. Son récit inspiré par les témoignages des rescapés apporte une note fort originale et détaillée de l’horrible naufrage.
Navigation intelligente dans les très nombreux textes inspirés par le Naufrage de la Méduse dont celui, méconnu jusqu'alors de Charles Yves Cousin d'Avallon
René Moniot-Beaumont (Lyon, 1946 -) débute une carrière dans la marine marchande qui le conduira à naviguer sur toute les mers du globe. A 44 ans il deviendra journaliste maritime puis responsable du port petrolier de la raffinerie Shell de Paulliac puis de l'affrètement de Shell Chimie. Retraite à 55 ans pour devenir bouquiniste, fonde la Maison des écrivains de la mer, rédige une histoire de la littérature maritime française et devient ainsi une figure incontournable de la littérature maritime.