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L'anthropologieA partir de : 5,19 €
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Vivre avec les Dieux. Sur le terrain de l'anthropologie visuelleA partir de : 29,00 €
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Architectures de terre dans l’Ouest africain : bleu à l’ombre, ocre au soleilA partir de : 43,00 €
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L'anthropologie. 2eme éditionA partir de : 7,46 €
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Boli (ou Boliw)A partir de : 45,00 €
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Bamana. Un art et un savoir-vivre au MaliA partir de : 50,00 €
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Jean Rouch. Cinéma et anthropologieA partir de : 18,49 €
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BamanaA partir de : 75,00 €
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Secrets. Fétiches d'AfriqueA partir de : 17,00 €
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Nkpiti, la rancune et le prophèteA partir de : 8,42 €
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Eléments d'anthropologie sociale et culturelleA partir de : 10,51 €
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Les chemins de Nya: culte de possession au MaliA partir de : 20,00 €
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Les « dit-on » et quelques autres récits plus sérieux. Mali, 1980-2020A partir de : 3,25 €
Les masques-antilopes Ciwara, en bois sculpté, gravé et patiné, ont valu une célébrité mondiale à l'art bamana du Mali. Liés au culte et plus particulièrement aux danses de la société Ciwara, qui célèbrent l'union mythique entre le soleil et la terre tout en stimulant l'ardeur au travail des jeunes cultivateurs, ils sont devenus un thème contagieux, un symbole exubérant, entré dans la vie de tous les curieux de l'Afrique. Avec un sens esthétique exceptionnel, les Bamana et leurs voisins - d'autres groupes établis dans la vallée du Niger ont eux aussi adopté ce culte - ont réussi le véritable exploit artistique de résumer un monde dans quelques centaines de chefs-d'œuvre. Le Ciwara a ainsi pris rang de principal symbole du Mali contemporain. Publié à l'occasion d'une des expositions inaugurales du musée du quai Branly, ce catalogue abondamment illustré retrace les grandes lignes de l'histoire de ces masques fameux, depuis leur condition d'être composite, de chimère, à l'étude stylistique qu'il est possible d'en faire. Dépositaire d'une cinquantaine de cimiers tous reproduits ici, le musée révèle ainsi la richesse d'une collection où figurent trente-cinq pièces majeures aujourd'hui présentées au public.
- Après des études de droit et après avoir travaillé au tribunal du district de Zurich, Lorenz Homberger s’est réorienté en 1975 pour suivre des études d’anthropologie, au cours desquelles il a consacré un terrain de 13 mois chez les Gouro de Côte d'Ivoire. De 1982 au 2014, il était conservateur de l'Afrique et de l'Océanie au Museum Rietberg de Zurich, dont il a été le directeur adjoint entre 1999 et 2010. Il est l’auteur de nombreux articles et publications sur l’art extra-européen, particulièrement sur l’Afrique de l’Ouest et l’archipel mélanésien. Il fut membre de la commission suisse de l’Unesco. Lorenz Homberger a assuré le commissariat de plus de 25 expositions.