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Failles rocheuses, cailloux, pierres levées, sacrés ou rendus sacrés par les Dogon. Une histoire toujours recommencée. Les objets collent au support, arbre, fer, pierre, une branche d'arbre devient statue fétiche. La miniaturisation d'objets du quotidien leur donne une mission complexe alliant le sacré, le thérapeutique et le religieux. Non reconnus par les canons classiques de l'art, ces objets oubliés, sont évincés. Les auteurs proposent une évocation poétique entre anthropologie et art.
- Anthropologue, Michèle Odeyé-Finzi étudie depuis plus de quinze ans le territoire dogon, et plus particulièrement le village de Youga nah avec une approche nourrie des enseignements de Georges Balandier.