Votre panier est vide.
Très proche de la réalité historique cet ouvrage met en scène sous des pseudonymes Coppolani (Andreotti) et Frerejean (Soeurpierre), personnages majeurs de la conquête de la Mauritanie. Style trop recherché, à la limite du pédant qui nuit à la qualité d'un ouvrage par ailleurs remarquable par l'exactitude de ses descriptions. Robert Randau (de son vrai nom Robert Arnaud) était l'ami de Coppolani, il le rejoignit à Tidjikja 2 mois avant sa mort tragique et le récit qu'il en fait dans cet ouvrage est à peine romancé.
Robert Randau est le nom de plume de Robert Arnaud (1873-1950), administrateur colonial et écrivain français né à Alger.
Il sort de l'Ecole coloniale en 1896 et devient administrateur de communes mixtes en Algérie. A partir de 1899 il s'attache à Coppolani qu'il accompagne au Soudan et à Tombouctou puis en 1905 en Mauritanie. Il rejoint ensuite le service des affaires politiques de l'A.O.F. Il occupera des fonctions importantes au Soudan français et en Haute-Volta entre les deux guerres. Il prend sa retraite en 1937 avec grade de gouverneur des colonies.
Ecrivain prolixe (plus de 30 ouvrages) il est l'un des fondateurs de l'Algérianisme et l'un des représentants les plus significatifs de la littérature coloniale française.
Il sort de l'Ecole coloniale en 1896 et devient administrateur de communes mixtes en Algérie. A partir de 1899 il s'attache à Coppolani qu'il accompagne au Soudan et à Tombouctou puis en 1905 en Mauritanie. Il rejoint ensuite le service des affaires politiques de l'A.O.F. Il occupera des fonctions importantes au Soudan français et en Haute-Volta entre les deux guerres. Il prend sa retraite en 1937 avec grade de gouverneur des colonies.
Ecrivain prolixe (plus de 30 ouvrages) il est l'un des fondateurs de l'Algérianisme et l'un des représentants les plus significatifs de la littérature coloniale française.