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La nuit s'ajoute à la nuitA partir de : 19,90 €
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Sylvia P.A partir de : 5,00 €
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L'ambassadeur tristeA partir de : 6,99 €
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La vie de Joséphin le fouA partir de : 8,60 €
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Le rire des déessesA partir de : 5,00 €
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Le jour des caméléonsA partir de : 1,30 €
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SoupirA partir de : 8,60 €
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Deux malles et une marmite: Quel est ce mystère d'écrire ?A partir de : 14,00 €
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Le rire des déessesA partir de : 4,50 €
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FardoA partir de : 1,24 €
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Manger l'autreA partir de : 2,24 €
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Manger l'autreA partir de : 3,25 €
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L'illusion poétiqueA partir de : 3,20 €
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Danser sur tes braises, suivi de Six décenniesA partir de : 6,98 €
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L'ambassadeur tristeA partir de : 2,70 €
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Quand la nuit consent à me parlerA partir de : 4,29 €
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Le sari vertA partir de : 0,50 €
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Indian TangoA partir de : 1,44 €
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Eve de ses décombresA partir de : 1,90 €
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PagliA partir de : 1,19 €
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SoupirA partir de : 1,90 €
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Le long désirA partir de : 3,00 €
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Rue la poudrièreIndisponible
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La vie de Joséphin le fouA partir de : 2,70 €
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Moi, l'interdite. RécitA partir de : 3,36 €
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Le poids des êtres: contes et nouvellesIndisponible
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Le voile de DraupadiA partir de : 2,80 €
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L'arbre fouetA partir de : 18,00 €
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Nouvelles de l'île MauriceA partir de : 1,98 €
Ceux du large… Qui Ananda Devi désigne-t-elle par ce titre ? La réponse nous est suggérée dès les premiers vers du recueil : « Dans des barques de feuilles mortes / Ils portent à bout de fatigue / Les enfants de leur faim », avant d’être assénée comme une gifle dans le dernier poème : « Ceux que la vie éventre / De son coutelas ». Entre ces deux poèmes, elle suit l’errance des réfugiés, de tous ces êtres qui ont fui la terre où ils vivaient pour tenter d’atteindre une autre rive. Malgré la « terreur de l’eau », malgré la mort en embuscade. Et si l’auteure s’est donnée la peine d’écrire ce texte en trois langues – français, anglais, créole – c’est pour se prouver à elle-même qu’elle n’est pas restée « Tête baissée bras ballants » devant « Le film catastrophe » qui se déroule sous nos yeux.
Par ses poèmes, traduits en 3 langues (français/anglais/créole) dans cet ouvrage, Ananda Devi suit l’errance des réfugiés, de tous ces êtres qui ont fui la terre où ils vivaient pour tenter d’atteindre une autre rive. Malgré la « terreur de l’eau », malgré la mort en embuscade.