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Mémoires d'une Afrique française. Texte inédit. Tome 2A partir de : 21,50 €
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Mémoires d'une Afrique française. Texte inédit. Tome 1A partir de : 20,50 €
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Du bon usage de la décolonisationA partir de : 14,00 €
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Toum: une "petite alliée" d'OuagadougouA partir de : 17,01 €
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Les paysans noirsA partir de : 3,09 €
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Les Constructeurs de la France d'Outre-MerA partir de : 8,04 €
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BiramaA partir de : 15,00 €
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Robert Delavignette: On the French Empire. Selected WritingsA partir de : 18,50 €
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Afrique équatoriale françaiseA partir de : 3,10 €
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Le mouvement éthiopien au Sud de l'Afrique de 1896 à 1899A partir de : 13,20 €
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L'Afrique noire française et son destinA partir de : 10,00 €
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Petite histoire des colonies françaisesA partir de : 8,00 €
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Les vrais chefs de l'EmpireA partir de : 24,00 €
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Service africainA partir de : 34,90 €
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Soudan, Paris, BourgogneA partir de : 8,00 €
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ToumA partir de : 49,50 €
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Les paysans noirs. Nouvelle éditionA partir de : 8,50 €
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Les paysans noirs. Récit soudanais en 12 moisA partir de : 5,00 €
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Afrique Occidentale FrançaiseA partir de : 30,00 €
Rare ouvrage de Robert Delavignette. A la fin de la première guerre mondiale, à Dankama, petite ville haoussa du Niger (mélange de Korgom, Magaria ou Matameye, Dogon-Doutchi ou Birni-Ngaouré) la description de la vie d'un administrateur colonial rejoint par sa femme et sa fille est l'occasion d'une longue réflexion sur la colonisation et sur la place et le rôle de la France aux côtés des populations indigènes.
Robert Delavignette (1897-1976) est l'une des figures les plus intéressantes et les plus attachantes de la colonisation française africaine. Démobilisé en 1919, il est commis aux affaires indigènes en AOF. Il intègre ensuite l'Ecole coloniale par la petite porte d'accès réservé aux fonctionnaires subalternes. Il servira successivement comme adjoint au commandant de cercle au Niger ( Tessaoua, Dosso), en Haute-Volta (Ouagadougou), puis comme commandant de cercle (Banfora). Il dirige en 1931 l'Agence économique de l'AOF puis entre au cabinet de Marius Moutet avant de devenir directeur de l'ENFOM en 1937. Haut-Commissaire au Cameroun en 1946-47 puis directeur des affaires politiques au ministère de la France d'Outre-Mer, poste où il tentera d'initier une politique coloniale novatrice. En désaccord avec le gouvernement sur la question indochinoise il démissionne en 1951 pour rejoindre l'ENFOM où il se remettra à enseigner jusqu'en 1962, année où il prend sa retraite.
Ses ouvages (romans et essais) sont remarquables et apportent un éclairage passionnant sur les visions d'un administrateur juste et progressiste sur ce qu'aurait pu être l'évolution de notre politique coloniale.
Ses ouvages (romans et essais) sont remarquables et apportent un éclairage passionnant sur les visions d'un administrateur juste et progressiste sur ce qu'aurait pu être l'évolution de notre politique coloniale.