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 CANOT Théodore, (Capitaine) - Les aventures d'un négrier. Histoire véridique de la vie et des aventures du Capitaine Théodore Canot, trafiquant en or, en ivoire et en esclaves sur la côte de Guinée telle qu'il  la raconta en l'année 1854 à Branz Mayer

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  •  CANOT Théodore, (Capitaine) - Les aventures d'un négrier. Histoire véridique de la vie et des aventures du Capitaine Théodore Canot, trafiquant en or, en ivoire et en esclaves sur la côte de Guinée telle qu'il  la raconta en l'année 1854 à Branz Mayer

CANOT Théodore, (Capitaine)

Les aventures d'un négrier. Histoire véridique de la vie et des aventures du Capitaine Théodore Canot, trafiquant en or, en ivoire et en esclaves sur la côte de Guinée telle qu'il la raconta en l'année 1854 à Branz Mayer

Plon - Paris - 1931
(Choses vues)
XVI-300 pp., une planche h.t., introduction de Malcolm Cowley, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Marthe Nouguier - 19 x 12 cm

Disponibilité éditeur: Epuisé chez l'éditeur.


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 Les aventures "véridiques" de Théodore Canot qui, né à Florence des suites du passage des armés de Napoléon, naviguera sur toutes les mers du monde et se livrera entre autres à la traite des noirs en Guinée avant 1840, et peut-être plus discrètement après aussi.

Théodore Canot est le nom de "témoignage" du négrier Thophile Conneau (1804-1860) né fort probablement en 1804 à Alexandrie (en Italie) d'une mère italienne et d'un père français. Ayant très tôt décidé de devenir marin, il embarque en 1819 sur un navire américain et découvrira la traite des esclaves lors d'une escale en Asie. Il décide alors de se lancer dans ce commerce et débarque en 1826 au Rio Pongo (en Guinée) où il deviendra comptable d'un mulâtre vendeur d'esclaves. Il reste plusieurs années en Afrique et nous laissera un témoignage très fidèle de la traite et des rapports avec les populations locales ayant intégré cette activité dans leurs modes de vie. Il abandonne la traite vers 1840 pour se consacrer à ses plantation, puis en 1854 écrit ses mémoires (d'abord publiées aux etats-unis en anglais) qui lui assureront la notoriété. Il finit sa vie en France en 1860 après avoir été administrateur colonial en Nouvelle-Calédonie.
 

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