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À la mort de son mari, Ramatoulaye prend la plume pour se confier à Aïssatou, grande amie de ses années étudiantes. Évoquant leurs aspirations féministes et leurs idéaux d’indépendance, elle revient sur l’injustice qui a scellé leurs sorts : la polygamie, dont elles pensaient s’être mises à l’abri. Dénonçant la condition des femmes sénégalaises, Mariama Bâ signe un roman d’une grande finesse, chef-d’œuvre des lettres africaines traduit en vingt-cinq langues et classé en 3e position parmi les 100 meilleurs livres africains du XXe siècle.
Oeuvre magistrale qu'Une si longue lettre. Prix Noma 1980, traduit en 17 langues, sélectionné 3e parmi les 100 meilleurs livres africains du 20e siècle.