-
Un anthropologue en dérouteA partir de : 1,20 € -
Le retour de l'anthropologueA partir de : 1,59 € -
Le retour de l'anthropologueA partir de : 2,50 € -
Un anthropologue en dérouteA partir de : 2,38 € -
Le dernier voyage du RévérendA partir de : 1,54 € -
Le dernier voyage du RévérendA partir de : 3,13 €
Many opposing theories have been elaborated by different anthropologists in an attempt to explain the nature of symbolism. In this work Nigel Barley uses a particular ethnographic case to examine the relevance and limitations of these existing theories and to develop a new alternative approach which draws on areas of linguistics and folkloristics at one time neglected by symbolic theorists. The book is a detailed study of the symbolic universe of the Dowayos of north Cameroon, as displayed in their ritual and beliefs. Considering matters as diverse as their oral literature, their material culture and their festivals, Dr Barley's analysis develops by unfolding sequentially a map of the symbolic structures that underlie Dowayo culture and shape their apperception of the world about them. This book will be particularly useful for students. It will also interest all anthropologists concerned with the study of symbolism and with the application to anthropology of models derived from linguistics and folklore.
Une étude fort détaillée de l'univers culturel des dowayos du Nord du Cameroun et la publication scientifique africaniste de l'auteur.
Sur les particularités de la "méthode Barley" lire l'article d'Aline Hartemann : "Les pérégrinations de Nigel Barley au pays des Dowayos et des Torajas ou la mise en scène de l’ethnologue comme anti-héros" dans l'ouvrage EN IMMERSION Pierre Leroux et Erik Neveu (sous la direction de) paru aux Presses Universitaires de Rennes en 2017
Docteur en anthropologie sociale de l'Université d'Oxford assistant-conservateur au British Museum jusqu'en 2002, Nigel Barley (né en 1947) s’est rendu célèbre pour avoir marié l’ethnologie à l’humour. Les Éditions Payot ont publié ses livres dans des genres très différents. Après nous avoir régalé de ses mésaventures au Cameroun (Un anthropologue en déroute et Le Retour de l’anthropologue) puis en Indonésie (L’anthropologie n’est pas un sport dangereux), il s’est essayé à l’art de la biographie pour raconter la vie de Stamford Raffles, qui fonda Singapour en 1819 (L’anthropologue mène l’enquête) ; et enfin, avec la même verve, il a osé le roman pour raconter l’installation malheureuse à l’embouchure du Niger d’un pasteur britannique trop idéaliste (Le Dernier voyage du révérend).
