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Les 150 ans de la Société des Missions AfricainesA partir de : 0,00 €
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Côte d'Ivoire: Les premiers pas d'une église. Tome 2: 1914-1940A partir de : 120,00 €
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Côte d'Ivoire: Les premières tentatives d'évangélisation (1637-1852)A partir de : 120,00 €
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Côte d'Ivoire: les premiers pas d'une église. Tome 1 (1895-1914)A partir de : 55,50 €
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Histoire et Agronomie. Entre ruptures et duréeA partir de : 0,00 €
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Naître sur la terre africaineA partir de : 6,00 €
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Traces vives : Du passage au pays de l'autreA partir de : 12,66 €
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L'espace de la belle mort: Monuments funéraires en Côte-d’IvoireA partir de : 29,89 €
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Les Agni devant la mort (Côte d'Ivoire)A partir de : 16,90 €
Les cultures akan de Côte d’Ivoire proposent à leurs membres de vivre leur existence terrestre selon un projet de puissance et de sens. Elles valorisent la réussite sociale, l’accumulation de richesses, l’acquisition d’une grande renommée, la jouissance de la puissance politique et spirituelle. Ces qualités permettent à une personne, lors de son trépas, d’accéder au rang d’ancêtre et de devenir une puissance tutélaire invoquée par les vivants. Un art populaire inédit magnifie les défunts dont la vie fut conforme aux exigences du projet de vie akan. Ces édifices mortuaires à statuaire en ciment, haut en couleurs, offrent à l’admiration des passants le nom, la figure et les contours de la réussite du mort qui y repose. Ils constituent pour ce dernier une demeure qui défie le temps et l’oubli. Le présent ouvrage propose un parcours au cœur de cet art funéraire populaire. Le lecteur y découvre les artistes, leur formation et leurs modes de création. Il se familiarisera avec les dimensions symboliques de ces édifices et découvrira les influences étrangères qui les travaillent profondément. Selon G. Balandier, ces monuments offrent une méditation sur la vie et la réussite d’un parcours humain au sein des peuples concernés.
- Pierre Trichet (1933-2016), né à Vitry le François, sera ordonné prêtre (Missions Africaines) en 1959. Il est envoyé en Côte d'Ivoire en 1960. Après avoir suivi l'école de journalisme de Lille il sera rédacteur à Peuples du monde puis en 1974 retourne en Côte d'Ivoire et est nommé régional en 1978. Il se consacrera à partir du milieu des années 1980 ) au journalisme puis à l'écriture de l'histoire de la Côte d'Ivoire. Il sera nommé en 2004 archiviste général à Rome.