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Les sables de l'empereurA partir de : 7,00 €
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Murer la peur / Murar o medoA partir de : 22,81 €
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Les baleines de Quissico: nouvellesA partir de : 6,56 €
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Le dernier vol du flamantA partir de : 5,24 €
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Histoires rêvéréesA partir de : 4,27 €
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La confession de la lionneA partir de : 5,00 €
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La pluie ébahieA partir de : 3,98 €
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Poisons de Dieu, remèdes du Diable. Les vies incurables de Vila CacimbaA partir de : 2,50 €
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L'accordeur de silencesA partir de : 1,00 €
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Mia Couto, écrivainA partir de : 5,60 €
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Rui Assubuji, photographeA partir de : 5,60 €
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Le fil des missangasA partir de : 3,25 €
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Tombe, tombe au fond de l'eauA partir de : 1,56 €
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AfricaA partir de : 39,00 €
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Le dernier vol du flamantA partir de : 3,80 €
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Le Chat et le noirA partir de : 0,90 €
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Un fleuve appelé temps, une maison appelée terreA partir de : 6,00 €
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Chronique des jours de cendreA partir de : 2,65 €
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La véranda au frangipanierA partir de : 3,25 €
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Terre somnambuleA partir de : 180,98 €
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Les baleines de Quissico: nouvellesA partir de : 4,98 €
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Le Chat et le noirA partir de : 15,30 €
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Le chasseur d'éléphants invisiblesA partir de : 20,00 €
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La cartographie des absencesA partir de : 10,84 €
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La cour des ombresA partir de : 18,00 €
« La première fois que j’ai vu une femme j’avais onze ans et je me suis trouvé soudainement si désarmé que j’ai fondu en larmes. Je vivais dans un désert habité uniquement par cinq hommes. Mon père avait donné un nom à ce coin perdu : Jésusalem. C’était cette terre-là où Jésus devrait se décrucifier. Et point, final. Mon vieux, Silvestre Vitalício, nous avait expliqué que c’en était fini du monde et que nous étions les derniers survivants. Après l’horizon ne figuraient plus que des territoires sans vie qu’il appelait vaguement “l’Autre-Côté” ». Dans la réserve de chasse isolée, au coeur d’un Mozambique dévasté par les guerres, le monde de Mwanito, l’accordeur de silences, né pour se taire, va voler en éclats avec l’arrivée d’une femme inconnue qui mettra Silvestre, le maître de ce monde désolé, en face de sa culpabilité. Mia Couto, admirateur du Brésilien Guimarães Rosa, tire de la langue du Mozambique, belle, tragique, drôle, énigmatique, tout son pouvoir de création d’un univers littéraire plein d’invention, de poésie et d’ironie.