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«Ce qui est clair, en revanche, c’est que la harpe libère l’homme de la tyrannie du dispositif fixé une fois pour toutes, tout comme la gestion bien conduite des règles d’alliance le libère de la tyrannie des lignages, de ces échelles infinies d’ascendants auxquelles l’on ne pouvait mettre un terme qu’en transformant un ancêtre réel en fondateur mythique — qui, lui, n’a pas d’ancêtre. Certes une flûte à un trou, un monocorde, permettent de moduler des hauteurs, tout comme le permettait l’arc musical. Mais il est hors de doute qu’à un certain moment, avec l’apparition des pluricordes, l’on s’est mis à penser autrement et, en particulier, indépendamment de la voix».
Lire le In memoriam "Eric de Dampierre, un ethnologue passionné de musique" préparé par Marc Chemillier et publié dans les Cahiers d’ethnomusicologie 11 | 1998, 205-214


