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Les tribus du rameau lobiA partir de : 240,00 € -
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La langue des peuls ou foulbéA partir de : 42,65 € -
Monteil, explorateur et soldatA partir de : 40,00 € -
Paysans d'Afrique occidentaleA partir de : 8,40 € -
Colonisation, colonialisme, décolonisationA partir de : 14,00 € -
Le Royaume d'Arda et son évangélisation au 17ème siècleA partir de : 24,00 € -
Les Manding et leur langueA partir de : 50,00 € -
Le CamerounA partir de : 10,16 € -
L'afrique précolonialeA partir de : 16,95 € -
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Histoire des noirs d'AfriqueA partir de : 4,40 € -
Plan de monographie régionaleA partir de : 25,80 €
Un complément au magistral manuel de peul publié par Henri Labouret à l'IFAN en 1952. Se propose de fournir les termes d'usage courant dans les cinq principaux groupes de dialectes qui se partagent la langue peule (dialectes orientaux, Fouta Djalon, Macina, Poular, Bassin des Voltas).
Le lexique qui occupe les pp. 62 à 160 est précédé:
- d'une bibliographie peule, pp. 11-14,
et de contributions portant sur:
- l'origine des peuls, pp. 17-36,
- la place à attribuer à la langue peule dans la classification des langues africaines, pp. 37-47,
- la famille et la parenté chez les peuls, pp. 47-54,
- une nomenclature sommaire des arbres et plantes utiles, pp. 55-61.
- d'une bibliographie peule, pp. 11-14,
et de contributions portant sur:
- l'origine des peuls, pp. 17-36,
- la place à attribuer à la langue peule dans la classification des langues africaines, pp. 37-47,
- la famille et la parenté chez les peuls, pp. 47-54,
- une nomenclature sommaire des arbres et plantes utiles, pp. 55-61.
Henri Labouret (1878-1959) commencera une carrière de militaire: engagé comme simple soldat, il sera plus tard lieutenant de tirailleurs sénégalais en AOF. Grièvement blessé en 1916 lors d'opérations dans le Haut Bandama (Côte d'Ivoire) il sera détaché à des fonctions administratives….en pays Lobi où il aura à charge le cercle de Gaoua.
Il passe alors dans le corps des administrateurs et sert en AOF jusqu'en 1926, date à laquelle il succède à Delafosse à l'ENFOM et à Langues'O. Il prend sa retraite comme gouverneur honoraire en 1935.
Chercheur au regard pénétrant et méthodique, il témoigne dans toute son oeuvre d'une grande sympathie envers l'homme africain et marque fortement par plusieurs de ses ouvrages cette période où, un peu dans le brouillard, l'on préparait les Indépendances.
Il passe alors dans le corps des administrateurs et sert en AOF jusqu'en 1926, date à laquelle il succède à Delafosse à l'ENFOM et à Langues'O. Il prend sa retraite comme gouverneur honoraire en 1935.
Chercheur au regard pénétrant et méthodique, il témoigne dans toute son oeuvre d'une grande sympathie envers l'homme africain et marque fortement par plusieurs de ses ouvrages cette période où, un peu dans le brouillard, l'on préparait les Indépendances.
