-
Idéologies des indépendances africaines. Deuxième édition augmentée et mise à jour.A partir de : 12,00 €
-
Les députés africains au Palais-Bourbon: de 1914 à 1958A partir de : 0,00 €
-
Grégoire et la cause des noirs (1789-1831): combats et projetsA partir de : 23,53 €
-
Indépendances africaines. Idéologies et réalitésA partir de : 3,85 €
-
La démence coloniale sous NapoléonIndisponible
-
La Révolution française et la fin des colonies, 1789-1794A partir de : 34,95 €
-
Diderot. De l'athéisme à l'anticolonialismeA partir de : 8,00 €
-
Diderot. De l'athéisme à l'anticolonialisme. Nouvelle éditionA partir de : 16,90 €
-
Idéologies des indépendances africainesA partir de : 13,00 €
-
La démence coloniale sous NapoléonA partir de : 18,50 €
-
La Révolution française et la fin des colonies, 1789-1794A partir de : 18,00 €
-
Les Lumières, l'esclavage, la colonisationA partir de : 34,00 €
-
Qu'est-ce que le développement ?A partir de : 3,03 €
En mai 2001, la France adoptait une loi reconnaissant la traite et l’esclavage des noirs comme crime contre l’humanité. Et en septembre de la même année, dans la déclaration de Durban, l’ONU reconnaissait la spécificité de l’esclavage des Africains aux Amériques. Dans les deux cas, les débats qui ont conduit à l’adoption de ces textes ont révélé une sorte de souffrance rétroactive qui taraude encore. Comment expliquer, en effet, que des sociétés brillantes et humanistes aient pu si longtemps tolérer l’esclavage ? Cette interrogation est à l’origine du présent essai, qui se propose de mettre en lumière le lien entre l’histoire de l’esclavage dans le monde moderne et la difficile reconnaissance des droits de l’homme depuis le XVIe siècle.