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La mondialisation ne signifie nullement la fin des nations et ethnies mais, à l'inverse, en les remaniant, les institue en objet potentiel porteur de subversion. Il faut rompre avec le linéarisme marxien mais peu marxiste de l'évolution sociale (du " plus petit ancien " au " plus grand contemporain ") et réhabiliter la nation/ethnie non point comme étape nécessairement liée à la révolution bourgeoise, mais comme une tendance permanente au sein des mouvements sociaux. Cela permettra alors de cesser de confondre internationalisme et antinationalisme.
Michel Cahen (Strasbourg, 1953 - ) est français, historien directeur de recherche émérite au CNRS. Sa spécialité : histoire et analyse politique de l'Afrique lusophone contemporaine (et tout particulièrement le Mozambique). Chercheur au CEAN de Bordeaux en 1988, fonde en 1994 avec Christian Geffrey et Christine Messiant la revue Lusotopie. Directeur adjoint du CEAN de 2003 à 2012