Navigation dans la catégorie :

Vous êtes actuellement sur :

<< Retour
 BLIXEN Karen - Les Contes

Plus de vues

  •  BLIXEN Karen - Les Contes

BLIXEN Karen

Les Contes

Gallimard - Paris - 2007
ISBN: 9782070782352
(Quarto)
1246 p., traductions du danois et de l'anglais par Philippe Bouquet et Jean Renaud, Solange de la Baume, Doris Febvre et al., préface de Geneviève Brisac - 14 x 20,4 cm

Disponibilité éditeur: Disponible chez l'éditeur.

Prix public éditeur: 27,90 €

L'Offre de Soumbala

Référence Etat de l'exemplaire Disponibilité Soumbala Prix Commander
X43872 livres neuf et d'occasion, brochés, à partir de: 5 à 8 jours
17,00 €
Chez Amazon

 Karen Blixen, cet esprit libre, a construit un labyrinthe de contes. L'imprévisible ensorceleuse propose aussi des fils, étroitement enlacés, pour en trouver l'issue. L'art divin du conte est celui du travestissement. Qui donne le meilleur récit : Dieu, le destin ou l'artiste ? Il n'y a pas de morale dans les créations de l'auteur de La Ferme africaine, la vie est bien trop facétieuse, une histoire en contient toujours tellement d'autres, aucun n'est celui qu'il prétend être jusqu'à ce que tombent les masques. Rien ne vaut une bonne histoire. On peut avoir tout perdu, c'est l'histoire qui contient en elle-même la raison de vivre. « - Seigneur, dit la dame, ce que vous appelez l'art divin me paraît à moi un jeu dur et cruel qui maltraite et raille ses créatures humaines. - Il peut paraître dur et cruel, dit le cardinal. Cependant, nous qui remplissons notre haut office de gardiens vigilants de l'histoire, nous pouvons vous dire, en toute vérité, que pour ses personnages humains il n'y a au monde aucune autre voie de salut. » Karen Blixen, « Le premier conte du cardinal », Derniers Contes, 1957.

41 contes et nouvelles constituant les 4 recueils publiés du vivant de Karen Blixen auxquels s'ajoutent un choix de contes posthumes.

 

Descendante d'une famille patricienne du Danemark, la baronne Karen von Blixen-Finecke est née en 1885 près de Copenhague. Elle part en 1914 pour le Kenya afin d'y diriger avec son mari la plantation du café qui lui inspirera son œuvre célèbre, La ferme africaine et y demeure, dix ans après son divorce, jusqu'en 1931. Elle se retire ensuite dans la demeure familiale de Rungstedlund, où elle se consacre à son œuvre jusqu'à sa mort en 1962.
 

Mon panier

Votre panier est vide.

Saint Louis Le blog Soumbala