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Les sables de l'empereurA partir de : 6,63 €
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Les baleines de Quissico: nouvellesA partir de : 6,56 €
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Le dernier vol du flamantA partir de : 5,24 €
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Histoires rêvéréesA partir de : 4,27 €
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La confession de la lionneA partir de : 5,00 €
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La pluie ébahieA partir de : 3,98 €
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Poisons de Dieu, remèdes du Diable. Les vies incurables de Vila CacimbaA partir de : 2,50 €
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L'accordeur de silencesA partir de : 1,00 €
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L'accordeur de silencesA partir de : 2,30 €
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Mia Couto, écrivainA partir de : 5,60 €
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Rui Assubuji, photographeA partir de : 5,60 €
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Le fil des missangasA partir de : 3,25 €
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Tombe, tombe au fond de l'eauA partir de : 1,56 €
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AfricaA partir de : 39,00 €
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Le dernier vol du flamantA partir de : 3,80 €
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Le Chat et le noirA partir de : 0,90 €
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Un fleuve appelé temps, une maison appelée terreA partir de : 6,00 €
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Chronique des jours de cendreA partir de : 2,65 €
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La véranda au frangipanierA partir de : 3,00 €
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Terre somnambuleA partir de : 180,98 €
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Les baleines de Quissico: nouvellesA partir de : 4,98 €
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Le Chat et le noirA partir de : 15,30 €
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Le chasseur d'éléphants invisiblesA partir de : 20,00 €
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La cartographie des absencesA partir de : 10,84 €
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La cour des ombresA partir de : 18,00 €
En mai 2011, Mia Couto a été invité aux Conférences d’Estoril (Lisbonne), dont le but est de susciter des débats internationaux sur les défis de la globalisation. Seul homme de lettres invité, Mia Couto intervient en lisant un texte sur l’instrumentalisation de la peur. Cette conférence est contemporaine de l’intervention d’une force armée internationale en Lybie. C’est ce texte fort, lucide et plus que jamais d’actualité que nous donnons ici en version bilingue. « La peur a été en définitive le maître qui m’a fait le plus désapprendre. Lorsque j’ai quitté ma maison natale, une main invisible m’ôtait le courage de vivre et l’audace d’être moi-même. À l’horizon, il y avait davantage de murs que de routes. À cette époque, j’entrevoyais déjà une autre vérité : il existe en ce monde plus de peur des mauvaises choses que de mauvaises choses à proprement parler. […] Et si ça se trouve, il y en a qui ont peur que la peur prenne fin.
Le texte de l'intervention de Mia Couto traitant de l'instrumentalisation de la peur présenté lors des Conférences d'Estoril de mai 2011 sur le thème des défis de la globalisation