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 KOUDAWO Fafali - La formation des cadres africains en Europe de l'Est depuis 1918. Des nègres rouges aux russotiques

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KOUDAWO Fafali

La formation des cadres africains en Europe de l'Est depuis 1918. Des nègres rouges aux russotiques

L'Harmattan - Paris - 1992
ISBN: 9782738411327
224 p. - 21,5 x 13,5 cm

Disponibilité éditeur: Disponible chez l'éditeur.

Prix public éditeur: 24,00 €

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 "Envoyez vos étudiants à Paris, ils reviendront communistes ! Envoyez-les à Moscou, ils deviendront capitalistes ! " Boutade réaliste des années 70. Jusqu'au milieu des années 50, l'ex-URSS avait échoué à sortir des écoles du Komintern des cadres africains. Ceux qui prirent les rênes des indépendances furent des "produits" de l'Ouest. La rupture du monopole occidental intervint ensuite. L'auteur étudie l'histoire de 70 ans d'efforts à l'Est, depuis 1918, pour faire émerger des cadres africains "au service de la Révolution". Il décortique après 1960 tant le système des études que la stratégie d'imprégnation idéologique mise en oeuvre à "l'Université de l'Amitié des Peuples ― Patrice Lumumba" et ailleurs, dans les Instituts et Ecoles des Démocraties populaires. Comment le dynamisme propre au continent africain et aussi sa force d'inertie ont-ils réagi face aux "tentatives d'embrigadement"? Staline, Krouchtchev, Brejnev, s'y sont cassé les dents et le dernier maitre du Kremlin, Gorbatchev, a jeté l'éponge…

La politique de formation de cadres africains en Russie et le système éducatif mis en place à l'Université Patrice Lumumba et dans les démocraties populaires

Fafali Flavien Koudawo né au Togo sera administrateur du programme des volontaires des Nations-Unies en Guinée-Bissau, pays où il choisira de s'installer. Doctorat en science politique de l'Institut Universitaire de Genève puis co-fondation de l'université Colinas de boé en Guinée-Bissau où il occupera le poste de doyen du département de science politique. Il participera directement à la création de Voz di Paz espace de dialogue et base de la création de nombreuses radios locales aux programmes éducatifs. Il disparait en 2015 ; il lui est accordé la nationalité bissau-guinéenne à titre posthume.