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Chez les Fang ou quinze années de séjour au Congo françaisA partir de : 349,00 € -
Au coeur de la forêt équatoriale. L'âme du pygmée d'AfriqueA partir de : 25,00 € -
Au Gabon. Dans les rivières de MondaA partir de : 18,00 € -
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Mille lieues dans l'inconnu. En pleine forêt équatoriale chez les Fang anthropophagesA partir de : 40,00 € -
Contes et légendes PygméesA partir de : 15,10 € -
Les pygmées de la forêt équatorialeA partir de : 99,00 € -
Contes et légendes fang du Gabon (1905)A partir de : 19,00 € -
Dans les rivières de Monda (Gabon)A partir de : 33,97 € -
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Fleurs noires et Ames blanchesA partir de : 15,00 € -
Le totémisme chez les FânA partir de : 0,00 €
Les Fang, peuple de la grande forêt équatoriale, sont surtout connus pour leur statuaire exceptionnelle et pour leurs épopées. On les a parfois qualifiés de nomades de la forêt. Et, en effet, ils sont partis, il y a environ deux siècles, de la savane du Nord en direction de l'Estuaire du Gabon, où leurs migrations ne se sont arrêtées qu'au début du XXe siècle. Le père Henri Trilles a été l'un des premiers Européens à entrer en contact avec eux à la fin du XIXe siècle. Il a recueilli alors un large échantillon de contes et de textes mythiques qui constituent encore de nos jours, malgré leurs travers d'époque, un ensemble inestimable.
Extrèmement rare première édition de ce texte dans le Bulletin de la société Neuchateloise de géographie; texte qui fera - la même année (1905) - l'objet d'un tiré à part chez le même éditeur puis qui sera bien plus tard (en 2002) réédité chez Karthala sous le titre : Contes et légendes fang du Gabon
Henri Trilles (1866-1949) est né à Clermont-Ferrand. Il est admis dans la congrégation du St Esprit en 1889 et part au Gabon en 1893. D'abord nommé à Lambaréné il rejoint en 1894 la mission Sainte-Marie de Libreville et multipliera les tournées de brousse en milieu Fang. Il sera choisi en 1899 pour participer (avec le père Tanguy) à une longue mission de délimitation des frontières avec les possessions espagnoles (1899-1900) qui durera près d'un an et laissera les deux missionnaires exténués (mais contents….). Trilles devra alors rentrer se soigner en France. Il sera de retour sur l'Ogooué (mission de Ndjolé) en 1904 puis rentrera définitivement en France en 1907. Il meurt à La Flèche en 1949
