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 ESME Jean d' - Sables de feu

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ESME Jean d'

Sables de feu

Editions du Dauphin - Paris - 1949
279 p. - 18 x 12 cm

Disponibilité éditeur: Epuisé chez l'éditeur.


L'Offre de Soumbala

Référence Etat de l'exemplaire Disponibilité Soumbala Prix Commander
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Contient trois récits:

- 1/ La marche vers le soleil. Après l'assassinat de Cazemajou et Olive le 5 mai 1898 à Zinder par le Sultan Ahmadou, les tirailleurs qui les accompagnaient après avoir repoussé trois attaques des Talibés s'enfuient dans la nuit pour regagner le Sénégal. Rattrapés et harcelés par leurs ennemis, ils rejoignent au bout de 50 jours de calvaire le premier poste français sur le Niger. Ils ne sont plus que 5.

- 2/ La piste sans retour. En 1916 un grand rezzou venu du Rio de Oro traverse la Mauritanie jusqu'au Hodh. Affaibli par les combats et alourdi par ses prises il remonte vers le Nord dans une marche effroyable, abandonnant peu à peu hommes et chameaux. Mourrant de soif, les Français tenant les puits, les derniers disparaissent sauf un qui sera sauvé par un groupe nomade et s'y engagera.

- 3/ La poursuite de l'Emir. En 1932 le capitaine Le Cocq commandant le GN de Chinguetti part à la poursuite de l'Emir de l'Adrar qui vient d'assassiner Mussat, Negroni et plusieurs hommes envoyés à sa rencontre. Avec une poignée d'hommes Le Cocq parcourt 900 km en 10 jours, abat l'Emir et gagne un combat qui restera comme l'un des plus beaux exploits des compagnies méharistes.

Sommaire:
- La marche vers le soleil,
- La piste sans retour,
- La poursuite de l'Emir.
Jean d'Esme (pseudonyme du vicomte Jean Marie Henri d'Esmenard) est né à Shanghai en 1894 d'un père fonctionnaire (famille de vieille noblesse provencale et lorraine; son grand-père s'était établi et marié à La Réunion). Après avoir fait l'Ecole coloniale il conduira une carrière de journaliste, de voyageur-explorateur-chasseur et d'écrivain, consacrant reportages et œuvres romanesques à l'Afrique noire et à l'Indochine. Il écrira de nombreux ouvrages destinés à la jeunesse. Membre de l'Académie des Sciences d'Outre-Mer, président de la Société des écrivains maritimes et coloniaux, il meurt à Nice en 1966.
 

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