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Amours sauvagesA partir de : 0,01 € -
Le Christ selon l'AfriqueA partir de : 1,99 € -
Les Lions indomptables. Cinquante ans de bonheurA partir de : 13,50 € -
Le roman de PaulineA partir de : 0,01 € -
L'homme qui m'offrait le cielA partir de : 0,19 € -
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La plantation. RomanA partir de : 0,01 € -
Les arbres en parlent encoreA partir de : 0,80 € -
Femme nue, femme noireA partir de : 0,01 € -
Comment cuisiner son mari à l'africaineA partir de : 1,12 € -
Le petit prince de BellevilleA partir de : 0,90 € -
La plantation. RomanA partir de : 1,26 € -
Assèze l'africaineA partir de : 2,90 € -
Les arbres en parlent encoreA partir de : 0,90 € -
Comment cuisiner son mari à l'africaineA partir de : 1,68 € -
Lettre d'une Afro-Française à ses compatriotesA partir de : 3,00 € -
Amours sauvagesA partir de : 0,90 € -
Les honneurs perdusA partir de : 0,90 € -
Assèze l'africaineA partir de : 1,20 € -
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Lettre d'une africaine à ses sœurs occidentalesA partir de : 5,99 € -
Les honneurs perdusA partir de : 0,90 € -
Maman a un amantA partir de : 0,98 € -
Tu t'appelleras TangaA partir de : 0,90 € -
C'est le soleil qui m'a brûléeA partir de : 0,90 € -
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La négresse rousseA partir de : 0,88 € -
La petite fille du réverbèreA partir de : 0,01 € -
C'est le soleil qui m'a brûléeA partir de : 0,72 € -
Tu t'appelleras TangaA partir de : 1,91 € -
Maman a un amantA partir de : 0,90 € -
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La petite fille du réverbèreA partir de : 0,01 € -
Le petit prince de BellevilleA partir de : 3,62 € -
Le roman de PaulineA partir de : 1,27 €
Mégri a les cheveux rouges et au moins deux papas. Un bâtard gréco-bantou dit Papa bon Blanc qui n’a pas d’argent mais un pied-bot et le crâne ciré à la brillantine. Un Pygmée au grand cœur dont le portefeuille est toujours plein et qui s’appelle Kwokwomandengé pour vous servir.
Il est vrai que Bertha, Dame maman, possède suffisamment de « charmes » pour les faire vivre dans l’esclavage et les rendre aussi malheureux l’un que l’autre. On comprend, dans ces conditions, que l’éducation sentimentale de Mégri ne soit pas des plus ordinaires.
Car il s’agit bien d’une « éducation sentimentale » africaine qui n’est pas seulement un apprentissage de son corps et de son cœur, mais une initiation aux mystères de l’être et de la nature. Ici, « les choses sont derrière les choses », et les dieux toujours à portée de la main sont souvent plus présents qu’une réalité qui n’arrive pas à masquer leur présence.
Et ce roman, qui est en même temps un conte de fées plein de bons et de mauvais diables, de sorciers et d’animaux, constitue le reportage le plus vivant sur une Afrique d’autant plus inconnue qu’elle dissimule ses secrets sous l’aveu de ses fausses évidences.
Une « éducation sentimentale » africaine qui n’est pas seulement un apprentissage de son corps et de son cœur, mais une initiation aux mystères de l’être et de la nature
Calixthe Beyala (1961, Douala - Cameroun, née de père bamiléké et mère béti) est une romancière française d'origine camerounaise. Elle publiera plusieurs romans à sccès qui lui vaudront le Grand Prix Littéraire de l'Afrique Noire (Maman a un amant - 1993), le prix François Mauriac de l'Académie Française et le prix Tropiques (Assèze l'Africaine - 1994), le Grand Prix de l'Académie Française (Les honneurs perdus - 1996).
Elle sera au cœur de plusieurs polémiques: accusée de plagiat pour son ouvrage Le petit prince de Belleville, on lui opposera également ses outrances (ou facilités) littéraires ainsi que ses prises de position bruyantes en faveur de Khadafi puis de Laurent Gbagbo…..
Très connue à l’étranger, notamment aux Etats-Unis où elle va régulièrement faire des conférences et où son oeuvre est étudiée dans plusieurs universités, elle est considérée comme un auteur important de la francophonie.
Elle sera au cœur de plusieurs polémiques: accusée de plagiat pour son ouvrage Le petit prince de Belleville, on lui opposera également ses outrances (ou facilités) littéraires ainsi que ses prises de position bruyantes en faveur de Khadafi puis de Laurent Gbagbo…..
Très connue à l’étranger, notamment aux Etats-Unis où elle va régulièrement faire des conférences et où son oeuvre est étudiée dans plusieurs universités, elle est considérée comme un auteur important de la francophonie.
