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En ce mois de mai, Ouagadougou a la pépie. Les habitants croulent sous une chaleur implacable. Le barrage n° 2 est à sec. Il faut faire entre cinq et huit kilomètres à pied, deux fois par jour, pour aller puiser un peu d’eau... Deux semaines plus tard, en juin, le même barrage menace d’inonder tout un quartier.
Au Burkina Faso, les pluies sont capricieuses. Il en tombe une cinquantaine par an, inégalement réparties dans le temps et dans l’espace. Orages et averses se concentrent sur quatre mois, de juin à septembre.
Au Burkina, l’eau, c’est toujours trop ou pas assez.
Au Burkina l'eau c'est toujours trop ou pas assez. Des photos en noir et blanc servies par un texte clair pour vous convaincre de l'importance de l'eau dans un pays du Sahel
- Didier Bergounhoux réalise depuis de nombreuses années des reportages
photographiques en Europe et en Afrique de l’Ouest. Il est aussi photographe de plateau pour des longs-métrages (Sia, Siraba, Tasuma, Ouaga-Saga).
- Rinaldo Depagne est journaliste. Responsable de la rubrique Afrique de
l'hebdomadaire Courrier international de 1993 à 1998, ancien collaborateur
du journal Charlie Hebdo, il est actuellement correspondant au Burkina Faso pour plusieurs radios internationales.
photographiques en Europe et en Afrique de l’Ouest. Il est aussi photographe de plateau pour des longs-métrages (Sia, Siraba, Tasuma, Ouaga-Saga).
- Rinaldo Depagne est journaliste. Responsable de la rubrique Afrique de
l'hebdomadaire Courrier international de 1993 à 1998, ancien collaborateur
du journal Charlie Hebdo, il est actuellement correspondant au Burkina Faso pour plusieurs radios internationales.