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Les mères dévoreuses existent dans tous les pays du monde et les enfants comme Famori, qui sauront s’en sortir par leur astuce et avec l’aide des autres aussi ! Lorsque Maliki Diakité raconte ceci aux enfants le soir, à la veillée, il suffit qu’il dise « n’sirin » (mon conte) pour que les enfants se calment, les mains s’activent sur les arachides à décortiquer, les yeux se ferment dans un hochement de tête. Alors les esprits enfourchent à leur tour le sufaraba de la sorcière ou galopent jusqu’à épuisement derrière Famori.